samedi 23 avril 2011

Panama, et voilà!

Dans un souci de conservation de ses relations amicales et afin de préserver les quelques liens de type familial qu'il lui reste, la direction a décidé, à l'unanimité, de quitter le littoral caribbéen en s'enfonçant davantage dans les quelques terres qui restent au Panama, coincées entre la susdite mer et l'océan Pacifique...



Non, ce n'est pas un pot de Nutella sur la table du p'tit déj...

Bon, et puis la plage, une fois qu'on a fait 3 pâtés, 2 cabanes et qu'on a joué avec les petits chiens, faut bien dire ce qui est, c'est chiant...


Nous, en maillot... Mais puisqu'on vous dit qu'on s'ennuie!


Alors Adieu! Cocotiers, reggae, cabanes de pêcheurs colorées, eaux transparentes et oiseaux bariolés; mais Bonjour! vallons et cascades, cultures et pâturages, eaux thermales et bougainvilliers...



vendredi 22 avril 2011

Dernier jours au Costa Rica

Le Costa Rica c'était sympa mais on ne pouvait pas en partir sans avoir vu un peu plus de paresseux. On a pourtant essayé à s'en tordre le coup dans les précédentes réserves naturelles, mais c'est tellement lent ces bêtes là qu'on a vite fait de rester planter des heures devant une noix de coco en se disant: "C'est bon j'en vois un !"
Et ça tombe bien parce que parmi nos dernières étapes au Costa Rica, il y a Cahuita et son refuge pour paresseux endommagés.

Après une petite ballade en barque pour contempler trois moineaux colorés et un petit cours sur les différentes espèces de paresseux ( et on a tout retenu, y en a 2), on nous présente les petits...




Remis de nos émotions, directions les plages de la cote avec nos bicyclettes West Coast Style sur une route peuplée de singes hurleurs.




jeudi 7 avril 2011

Itinéraire

Notre itinéraire depuis le départ de Cofradia en février dernier.
Résultat d'une journée pluvieuse accompagnée de quelques pancakes...



mardi 5 avril 2011

Le Costa Rica



Autant le dire tout de suite, le Costa Rica nous a d'abord laissé sceptiques.
Trop de touristes, trop cher, trop de complexes hôteliers du genre La Grande-Motte en forêt tropicale...
Et vu qu'on était pas prévenu, et bien on n'avait ni planche de surf, ni monoï qui rend la peau dorée, ni bandana dans les ch'veux (ça a l'air encore en vogue chez les Ricains), ni bermuda couleur sable... On n'était pas prêts!
Alors, ça nous a pris du temps et, finalement, on a réussi à s'adapter à la végétation luxuriante, aux cascades vertigineuses, aux volcans cracheurs de fumée, aux paysages de vallées à couper le souffle, aux ballades en barque le long de canaux au lever du soleil, aux animaux sauvages... Ce fut dur, mais on y est arrivé!